jeudi 11 mai 2006

Spécial cas (de Capelovici)

Mes bougres-z-bougresses, il n'est pas 20 heures (quoique, ça dépend du point de vue), on n'est pas là pour s'amuser (quoique bis), mais malgré tout, c'est maître Capello qui vous cause sans couac (ter) (je vous parle d'un temps que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître. Souvenez-vous, c'était le temps où on disait FR 3). Aujourd'hui nous nous intéressons à l'expression Faut pas pousser mémé dans les orties.

À l'origine, le Faut Pas Pousser Mémé Dans Les Orties est un mouvement né en réaction au groupuscule sado-masochiste connu sous le nom de Front populaire Post-Moderne Des Libres Opprimés qui militait pour le rétablissement d'un esclavage volontaire des personnes des troisième et quatrième âges. Pour réguler l'accroissement (en 13 lettres, lettre A) démographique, le Front proposait aux individus improductifs une fin de vie douloureuse au service de pervers sadiques usant de tortures raffinées, dont la plus célèbre reste le roulage de vieux dans un buisson d'orties jusqu'à ce que mort et soupe d'orties à base de chair humaine s'ensuivent...

Le mouvement d'opposition lutta longtemps pour l'interdiction du groupuscule mais il fallut attendre la réforme des retraites du gouvernement Raffarin (en 8 lettres, lettre R) (je mets 100 francs dans le nourrain). Depuis, l'expression est entrée dans le langage populaire et signifie : ne pas exagérer, ne pas avoir envers quelqu'un de comportement qui nie les normes sociales. En effet, les vieux peuvent maintenant se tuer au travail sans passer par la case retraite.

La prochaine fois : Monter en danseuse.

Et maintenant, le ni oui ni non...

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