Well, c'est que j'ai comme qui dirait le trac...
Parce que des blogs, j'en lis, pas de problème, mais maintenant que je suis de l'autre côté...De l'autre côté de quoi d'ailleurs ? Selon toute apparence, je suis toujours du même côté de l'écran hein, ou alors il y a quelque chose qui m'échappe...mais bon, côté cour ou côté jardin, à l'est comme à l'ouest (rien de nouveau), par monts et par vaux (vaches, cochons), je fais moins la maligne présentement.Permettez-moi d'ouvrir une parenthèse grammaticale, à moins qu'elle ne soit lexicographique, mais c'est une autre histoire : qui peut me dire, une bonne fois pour toutes, quel est le féminin de malin ? Je ne vois pas pourquoi ça ne pourrait pas être maline, why not, porque no ? Sauf que de source incertaine il paraîtrait qu'il faille dire maligne. Qui a ricané : Si elle croit qu'on va laisser des commentaires parce qu'elle pose des questions idiotes, elle peut toujours rêver ? C'est pas très sympa. Et ceux qui pensent : Elle peut pas ouvrir son dico ET mémoriser ce qu'elle y lira ?, ben c'est pas beaucoup mieux. Une chose est sûre (voire plusieurs, mais c'est à vérifier) : le ridicule ne tue pas. Parmi les quintaux d'exemples qui me viennent en tête, je vous renvoie au paragraphe précédent où, force est de le constater : je suis toujours vivante. Et quand on sait que ce qui ne tue pas rend plus fort...eh bien je vous laisse en tirer les conséquences, c'est au-dessus de mes forces (attention il y a un piège).
Cela dit, vous n'avez pas tort, à quoi bon avoir le trac puisqu'il est hautement improbable que je sois lue dans l'immédiat (oui oui, l'espoir fait vivre) ? En même temps c'est pour être lue que je suis là. On pourrait appeler ça du narcissisme paradoxal, parfaitement, on pourrait. Je crois qu'effectivement je suis passée de l'autre côté du miroir.
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