Et voilà, c'est toujours pareil, y a pas moyen de s'absenter deux minutes sans rater plein de trucs trop intéressants.
Et donc je mets le nez à la fenêtre et là...non mais c'est pas possible, je me suis plantée dans le réglage de la machine, attends dis-moi que je rêve, j'ai oublié d'ouvrir les yeux ou quoi ? : il fait nuit ! Ouais bon, tu peux faire genre t'es pas surpris, vas-y...Toujours est-il que moi je savais pas. En cette saison, à 8h du mat, il fait nuit. Tu m'en diras tant. Eh ben on en apprend tous les jours...
Autre exemple. Hier soir je retrouve le charmant charmeur chilien au nouveau bar. Alors déjà le patron me fait des sourires que j'interprète complices...Il se pourrait que ce soit tout simplement une manifestation de ma parano galopante ou, plus prosaïquement, l'effet d'une culpabilité mal placée. Non mais bon, tu vois ce que je veux dire, le patron il m'a quand même vue, en alternance évidemment, avec les trois hommes dont je fréquente le lit. Eh bien figure-toi qu'il a à coeur de ne pas trahir le secret professionnel (en même temps je lui amène des clients hein, chacun y trouve son compte). Il me fait des sourires. Bon. Et le charmant, qu'est-ce qu'il me raconte ?
M'en fous, j'ai le même à la maison. En moins poilu. Je préfère.
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