mardi 25 novembre 2008

♫ Then love, love will tear us apart again ♫

Bon tu n'aimes pas Cali, soit. Mais moi non plus tu sais. Sauf cette chanson que j'écoutais sur les routes du sud. Le reste m'a beaucoup déçue. Peu importe. Ce que je voulais te dire par là, c'est que monamour et moi avons résolu notre désaccord de fond en décidant, d'un commun accord, de nous séparer.

Affliction, détresse et désolation. Une matinée au lit, à tourner le problème dans tous les sens. Misère, douleur et chagrin. Aucune issue viable. Tourment, désespoir et déchirement. Une seule solution, la séparation.

C'est une décision logique, rationnelle, prise de sang froid. Une date est même fixée pour la fin de la cohabitation. L'après-midi de ce jour marqué du sceau de l'atrocité (bon ça va aller les synonymes là ?), chacun va pleurer de son côté dans des bras hospitaliers et bienveillants.

Vient le soir, un soir genre sois sage, ô ma douleur, et tiens-toi plus tranquille, un soir de fusion amoureuse pour oublier qu'on va en chier sévère.

Un soir comme tous les soirs suivants. Comme si de rien n'était. On convient quand même qu'il va falloir en reparler un de ces quatre. Oui bien sûr, un de ces quatre. En attendant, comme si de rien n'était je te dis.

Alors du coup je sais pas. Ou plutôt si, je ne sais que deux choses, c'est que je ne sais rien et qu'on veut pas se séparer.

3 commentaires:

Massinissa a dit…

(Tu ne veux pas d'enfants?
C'est ça?)

Sinon, on ne décide pas d'arrêter d'aimer quelqu'un...
C'est mission impossible.

Hâte de te lire à nouveau;

Je t'embrasse fort

Anonyme a dit…

Et sinon, là, tout de suite, j'espère juste que dans l'à peu près, ça va pas trop mal.

Des bisous.
Plein.
Et pis des coeurs aussi.

Ada a dit…

Merci du soutien les filles