Je te fais un compte-rendu de mise au point avec le charmant charmeur chilien dès que possible, on laisse tiédir un peu, c'est meilleur pour la digestion. En attendant, tu serais bien aimable, si possible, de me raconter la fin du dernier Joseph Connolly L'amour est une chose étrange (ah oui tiens, il croit pas si bien dire, vraiment c'est de circonstance, le titre qui tombe à pic), qui est bien drôle mais quand même pas pareil que les précédents (j'adore quand il fait dire à ses personnages Passe moi le truc là s'il te plaît. Ça ? Non, juste à côté. Ah, ça ? Mais non, ça là-bas...Mais là il la fait pas cette blague, et puis il raconte mieux quand même), ce qui n'est pas une critique négative, va pas croire. Bon alors j'en suis à la page 371, quand Annette se fait aborder par un quadragénaire et qu'elle lui demande s'il vient souvent ici et lui il répond Oh mais c'est plutôt à moi de vous poser la question (bas de page 371, pour être tout à fait précis).
Car oui, ça devait bien arriver un jour, je m'y attendais, mais tu sais ce que c'est, on ne se prépare jamais assez au pire : hier j'avais pas prévu de sortir, je me voyais déjà sous la couette en train d'ouvrir le bouquin (à la page 371 donc), mais le destin en a décidé autrement, du coup ce matin je me réveille non seulement tard, mais sans avoir fini la "nouveauté". Tu te souviens, je t'ai déjà parlé de cette appellation bizarre. Le livre en question est sorti en janvier, y a bientôt cinq mois si tu sais compter. Eh ben c'est une nouveauté. Bon. Ils ont pas l'air d'être au courant du nombre de nouveaux titres par semaine. Ou alors, ils appellent nouveautés leurs nouvelles acquisitions, et là c'est carrément de la publicité mensongère. À ce compte-là, on achète Les Regrets de du Bellay et on dit que c'est une nouveauté. Ou la bible tant qu'à faire, allez hop, tout nouveau tout beau hein oh, ça va pas mieux non ?
Toujours est-il que si je le rendais pas ce matin le livre (oui parce que ce soir, vu l'heure à laquelle je vais sortir du taff, il est inutile d'envisager une visite à la bibliothèque qui, soit dit en passant, ouvre pile poil quand tout le monde est au taff, c'est d'un pratique), si je le rendais pas ce matin, fallait casquer. Les amendes là tu sais. Les pénalités de retard. Et ça vois-tu c'est hors de question. Donner quinze euros au Trésor public (non mais je rêve) en guise de punition, je me préfère encore me payer une vraie nouveauté. Donc voilà où j'en suis : je connais pas la fin. Et c'est insupportable ; autant quand tu rates le début, bon, tu t'en remets...autant pas avoir la fin c'est frustrant.
J'te jure...ma vie est pas simple. En plus ils ont le culot de s'afficher comme les chantres de la lecture publique...On se foutrait de notre gueule que ça m'étonnerait pas, parce qu'en l'occurrence, c'est plutôt privée de lecture il me semble.
Car oui, ça devait bien arriver un jour, je m'y attendais, mais tu sais ce que c'est, on ne se prépare jamais assez au pire : hier j'avais pas prévu de sortir, je me voyais déjà sous la couette en train d'ouvrir le bouquin (à la page 371 donc), mais le destin en a décidé autrement, du coup ce matin je me réveille non seulement tard, mais sans avoir fini la "nouveauté". Tu te souviens, je t'ai déjà parlé de cette appellation bizarre. Le livre en question est sorti en janvier, y a bientôt cinq mois si tu sais compter. Eh ben c'est une nouveauté. Bon. Ils ont pas l'air d'être au courant du nombre de nouveaux titres par semaine. Ou alors, ils appellent nouveautés leurs nouvelles acquisitions, et là c'est carrément de la publicité mensongère. À ce compte-là, on achète Les Regrets de du Bellay et on dit que c'est une nouveauté. Ou la bible tant qu'à faire, allez hop, tout nouveau tout beau hein oh, ça va pas mieux non ?
Toujours est-il que si je le rendais pas ce matin le livre (oui parce que ce soir, vu l'heure à laquelle je vais sortir du taff, il est inutile d'envisager une visite à la bibliothèque qui, soit dit en passant, ouvre pile poil quand tout le monde est au taff, c'est d'un pratique), si je le rendais pas ce matin, fallait casquer. Les amendes là tu sais. Les pénalités de retard. Et ça vois-tu c'est hors de question. Donner quinze euros au Trésor public (non mais je rêve) en guise de punition, je me préfère encore me payer une vraie nouveauté. Donc voilà où j'en suis : je connais pas la fin. Et c'est insupportable ; autant quand tu rates le début, bon, tu t'en remets...autant pas avoir la fin c'est frustrant.
J'te jure...ma vie est pas simple. En plus ils ont le culot de s'afficher comme les chantres de la lecture publique...On se foutrait de notre gueule que ça m'étonnerait pas, parce qu'en l'occurrence, c'est plutôt privée de lecture il me semble.
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